lundi 13 juillet 2009
plus que quelques jours - 30 juillet 08
Merci pour vos commentaires enthousiastes. Ca donne envie d'entretenir ce blog…
Avec Sarah, nous avons quittés Salta la linda ( la jolie) dimanche après-midi avec beaucoup de regret. Ces derniers jours ont été si magiques. Nous avons vécu ces quelques excursions à travers le nord-oeste argentin comme un rêve les yeux ouverts. J'ai vu tant de paysages et rencontré tant de personnes agréables.
En auberge, nous avons voyagé avec pas mal d'étrangers ( suédois, hollandais, brésiliens…) et quelques porteños purs et durs ( hmm… et chaud comme la braise, mais il parait que c'est normal) . Le contact est passé sans problème par rapport aux “anglaises” de l'auberges d'Iguazu. Il faut dire que peu d'anglophones font l'effort de parler espagnol. Quand ils sont là, on le sait. On dirait des élephants dans un magasin de porcelaine, adorable!
Depuis lundi, la tête dans le pâté, retour à la case départ á Buenos Aires. Ici il fait gris ( grrr….dimanche nous déjeunions en t-shirt en terrasse). Comme Sarah veut devenir une grande étoile du flamenco et du tango en plus de tout ce qu'elle veut faire : artisanat, dessin, tissage, EJE…:-), on s'est dit d'acheter des chaussures de tango. Rien de plus facile, vous me direz, en Argentine. Et bien détrompez-vous! La seule rue qu'on nous avait conseillée, il y avait 4 pauvres magasins. Et v'là les chaussures: parfaites pour faire un ”sexy show à brodway”. Bonjour les paillettes avec des talons à en faire palir une mannequin débutante. C'est incroyable. Seules les bombas latinas peuvent être perchées sur ce genre de souliers? Ce n'est pas juste…
Heureusement, nous avons rencontrés des danseurs de tango dans un bar très ancien, le 36 billares (il est courant que des amateurs s'entraînent dans les cafés), qui nous ont donné une adresse et Sarah a pu trouver des chaussures trés jolies et simples. La classe! Le magasin était près le l'ABASTO, les anciennes halles transformées en centre commercial. Un édifice sublime, tout en verre et métal. De l'extérieur on dirait un bâtiment new-yorkais.
Hier, Francois et Valéria nous ont invités au Million. Un restaurant dans un ancien hôtel particulier. L'endroit est sublime. Toute la beauté du lieu est révélée par la noblesse des matières viellies et de la subtile décoration . Une sorte d'éloge à la simplicité raffinée. On se prend facilement au jeu, s'imaginant en être le propriétaire. C'est vraiment agréable… et on y mange bien.
Ce soir nous allons sûrement aller dans une milomga ( soirée oú l'on danse le tango) et il nous restera plus que demain avant de faire nos aurevoirs á l'Argentine. Snif…
Merci encore d'avoir suivi nos pérégrinations. C'était agréable de pouvoir vous lire et partager ce mois de voyage.
Je vous embrasse et vous dit a bientôt ( à ceux qui continueront à lire ce blog comme à ceux que je vais voir à mon retour à Nantes)
Tcho
les chutes et l'ascension - 25 juillet 08
Comme ca fait une semaine que j'ai manqué a l'appel du blog, cet article risque d'être un peu long… Depuis vendredi dernier, c'est la course ici: avec Sarah on rattrape des plaisirs presque inespérés! En effet, nous sommes arrivés a 11heures a Iguazu dans un cadre totalement paradisiaque. Piscine, palmiers et beaux gosses bronzés étaient au rendez-vous pour nous accueillir comme il se doit, dans une ambiance trés “Braziou”. L'auberge de jeunesse d'Iguazu, ce sont quelques centaines de mètres carrés de way of life à la Miami Beach, avec un superbe temps en prime: au début ca surprend, mais apres 11 heures de car, ce n'est pas déplaisant.
Sur notre séjour á Iguazu, nous avons passé une après-midi dans le parc naturel du côté brésilien et 2 jours du côté argentin(nécessaires pour tout voir et apprécier la forêt tropicale - j'ai vu des coatis, on a croisé un puma, une sorte de lapin sans queue et surtout on pensait voir se glisser entre nos pieds des serpents, comme avertissaient les panneaux a l'entrée du chemin).
Coté argentin, on perd totalement ses repères quand on est au dessus de la ” Garganta Del Diablo”(gorge du diable). C'est comme si la terre, bouche béante, avalait dans un excès de fureur toute l'eau qu'elle pouvait. Sur une passerelle peu rassurante oú se croisent des millers de touristes ( l'amour du risque à l'argentine!), on se sent comme happé par le gouffre. il faut se retenir pour ne pas y plonger malgré soi. Une force incroyable! A voir absolument avant que ca ne disparaisse ou que ca devienne impraticable - petit message écol'eau.
Comme l'indique le titre de cet article, après les chutes, je suis aussi montée au ciel ( au 7ème tellement c'est magnifique). Depuis hier, nous faisons des circuits dans la région de Salta, nord-ouest argentin. C'est fabuleux. En fait, depuis notre départ de Resistencia, on ne fait que passer de l'immense au gigantesque (chutes du brésil puis d'argentine), de l'impressionnant au fabuleux ( des montagnes aux 7 couleurs, aux neiges éternelles de la montagne “El Libertador). Idem, les mots me manquent. Nous avons tellement vu de choses incroyables…
Sincèrement, depuis hier, je suis sur un grand nuage de felicidad (bonheur). L'argentine a cet avantage, d'avoir un territoire démesuré aux paysages variés qui en dehors des zones urbaines, s'inscrit dans la plus pure beauté. Chaque jour, nous voyons des paysages grandioses. Vraiment, je me sens comme libérée d'un poids, celui de croire qu'on maîtrise les choses et que tout est à notre echelle.
Ca fait un peu “Babos sur le retour”, mais sincèrement, on apprend a relativiser quand on découvre des paysages comme ca! La région de Salta est sublime et tout n'est que délice. Nous avons déjeuné aujourd'hui a plus de 2200m d'altitude dans une excellente ferme, près de Cachi. Le propriétaire est un porteño d'une cinquantaine d'années, qui a vécu en France, Italie, Suisse et plus encore. Avec beaucoup de goût et de simplicité il a investit un lieu charmant pour en faire en restaurant à ciel ouvert. Il s'est trouvé son petit coin de paradis au milieu des montagnes et nous en a fait profiter. Il produit son propre fromage de chèvre, son vin et propose même des balades a cheval pour les amateurs. Du bonheur!
Hier, nous sommes montés a plus de 4000 mètres, et pour éviter le mal des montagnes (apunamiento), je me suis mise à la “coca”. il faut coller plus de 25 feuilles dans sa bouche, contre la joue et surtout ne pas mastiquer. Ce n'est pas trop amer (comme on me l'avait dit) et ca a un effet radical: ca aide le passage de l'oxygène dans le sang. une fille qui n'en n'avait pas pris, a du aller a l'hôpital pour se prendre une bouffée d'oxygène en bouteille! Ávec Sarah, on était bien contente d'avoir testé. De toute facon, ici, on goute de tout!Enfin du bon vin, de l'excellente viande et des empanadas ( fourrés a la viande ou au fromage) qui mettent les papilles en éveillent. ( je vais encore me mettre des argentins à dos….:)
J'aurais encore milles et une choses à vous raconter, mais dans 4 heures, je dois me lever pour aller a Cafayate, faire des dégustations de vin et encore découvrir de nouveaux paysages. (photos à la prochaine édition)
à vos claviers pour les commentaires et à bientôt!
Sabah fait de la Résistance - 18 juillet 08
avant de débuter ce nouvel article sur Resistencia, où je suis depuis hier, je vous montre comme promis des photos de ces derniers jours passés a Rosario.
expo sur la revolución mexicana au centre culturel Bernadino Rivadavia :
Bon…l'ordinateur rame comme un homme qui ferait la traversée de l'Atlantique en solitaire sur une barque, alors, je vais devoir aller a l'essentiel c-a-dire les photos de notre journee ensoleillee au bord du rio parana (hihi)
sans oublier, le fameuse statue du Che, qui pour ma part me laisse de marbre, tellement elle est moche.
J'ai aussi pas mal de photos du monument a la patrie et des batiments de rosario, mais, ca fera l'objet en france d'un visionnage complet de photos… Sarah en a de tres interessantes.
Alors, vous attendez tous a ce que je vous fasse saliver avec Resistencia. Et bien oublier! Ici, il n'y a rien a faire, vraiment rien a part manger, dormir et profiter du temps qui passe. Ce n'est pas une ville jolie mais il y a la famille d'un ami, juan (un nantais d'origine argentine), avec qui nous partons pour iguazu - avec sa chérie agathe. Sa famille est vraiment adorable et ca fait du bien de parler en continu en espagnol. De plus, l'avantage, c'est qu'ils n'ont pas cet accent argentin (cho me chamo pour yo me llamo) un peu dur a comprendre.
la specialite ici, c'est manger. c'est vraiment un sport national. ils raffolent entre autres des chipacitos: boulettes de farine de manioc fourrées au fromage. c'est pas mal: 3 et tu décolle plus de la journee par contre. Hier soir, le cousin de juan, Dani, nous a emmené a Corrientes, un ville charmante. nous avons fait le passeo et dévoré des pizzas a “Pate fine” soit 6 ou 7 millimètres. elles étaient bonnes.
Ce matin réveil a 13 heures ( je vous avez dit qu'il n'y avait rien a faire) et me voila a 5h30 devant un ordi.
voila. tout ce beau petit monde: sarah, juan, agathe, omar, nina, gabi…m'attendent pour aller prendre le café. je file et je continue a vous donner des nouvelles.
une journée d'été en plein hiver - 16 juillet 08
je vous ai manqué? En tout cas vous oui, car j'aurai aimé vous envoyé en direct live une photo de la ou j'ai passé cette magnifique journée. J'étais a rosario (4 heures de bus de buenos aires) une ville charmante, que vous avez pu entrevoir dans “carnet de voyage” ( enfin, pour ceux qui l'on vu). En effet, c'est la ville natal d'Ernesto guevara. c'est de la qu'il fait son depart pour son long periple sudamericain.
Seulement, a Rosario, il est impossible de visiter sa maison et une pauvre statue en bronze a son effigie se trouve plantee sur les vestiges d'une vielle gare a marchandises ( exotisme a l'argentine). Bref, un monsieur qui habite l'immeuble nous a proposé de nous faire une visite privee de l'appart Guevara avec photos originales a 6 heures du soir. Pas folles les guèpes, on a déguerpi (c'est ma mère qui doit être fière que je ne suive pas des inconnus).
Revenons a mes moutons. Rosario est une “petite” ville sympa, de province (+ d'1 million d'habitants), de nombreux immeubles fin 19Eme. Journee exceptionnelle aujourd'hui, il faisait 28 degrés. en pantalon facon pêcheur, avec des petites balerines et un t-shirt nous avons profité avec sarah de la plage qui borde le Rio Parana, le 2eme plus long du monde apres l'amazone. Exquis. Nous avons dormi sur le sable fin (vu la couleur de l'eau et les petroliers qui passaient, pas envie de piquer une tête) et mangé en terrasse ( 10euros a tout casser a 2).
Visite de la ville en taxi, découverte de l'esplanade du monument a la patrie. impresionnant. j'ai filmé le baisser de drapeau avec les militaires et l'arrêt brutal pendant 5 minutes de toute activité. que du bonheur!
La, je vous ecris d'un cyber dans la gare des bus car dans 45 minutes, on part pour resistencia (a vos cartes), Je suis desolee, je ne peux pas vous laisser de photos de cette journee exceptionnelle. j'espere la prochaine fois….
au fait, j'ai pu manger vegetarien. ( et oui, j'ai de la chance!) Contre toute attente, c'est au pays de la bidoche qu'on en trouve le plus. il fallait y penser. Dimanche, j'ai mangé dans un restaurant krisna (religion hindouiste vegetarienne) en plein coeur de Buenos aires - décalage- et hier, dans un restau vege un peu glauque mais bon! Je n'ai pas encore gouté cette viande argentine tant encencée. j'attend le meilleur restau du pays (ils pretendent tous faire la meilleure viande, mais attention, ce n'est pas vrai!)
chao a vous tous ( ciao a l'argentine) et a bientòt
Viva Uru Gouaille - 12 juillet 08
Salut a tous,
quelle chance de pouvoir vous ecrire si rapidement! La, je suis a l'auberge de jeunesse de Colonia de Sacramento, en Uruguay. Internet est gratuit, ici, il y a pas mal de bornes wifi…ce n'est pas l'asdl mais c'est bien quand meme.
Comment vous decrire… apres Buenos aires, ici c'est vraiment un havre de paix. en plein hiver, nous nous baladons en pull, les rayons du soleil transpercent les quelques nuages de la matinee. c'est un site classè au patrimoine mondial (la classe!). Nous sommes montees dans le phare afin de profiter d'une vue imprenable du Rio de la Plata. Colonia ne ressemble a rien que je connaisse. On dirait un peu La Havane, un peu le Mexique…et beaucoup le paradis a 3heures de bateau de l'enfer porteño. C'est tres mignon. Meme s'il y a pas mal de touristes, ça n'a rien a voir avec eurodisney… On acheterait bien une maison de vacances avec sarah (si ca vous dit, on peut l'acheter a plusieurs: 500m2 a 150 000 euros!
uru gouaille… ici, les gens parlent facilement. encore rien a voir avec les voisins de la capitale argentine. ils sont hypers avenants et accueillants. Totalement charmees, nous comptons nous rendre demain a Montevideo. Quitte a avoir un joli tatouage uruguayen sur notre passeport, autant pousser le voyage un peu plus loin. Momtevideo, la capitale, est a 2h30 de Colonia et normalement, il y a un bateau qui pourrait nous ramener directement a BA demaim soir. Enfin, on gèrera…
voila, je vous avez dit que les “belles histoires” allaient arriver
ca va Boca mieux - 11 juillet 08
Le voyage se poursuit bien. je suis contente de le faire avec sarah car elle gere tres bien les questions d'orientation (les rues sont organisées a l'americaine, par block), et moi les sous (pesos, euros, dollards…)
Depuis hier, nous y allons plus tranquille, car mardi on a carburé et comme vous l'avez lu, c'etait un peu hard core. On se reveille “naturellement” tard (le vin argentin est fracassant).Nous avons fait un tour de marché pittoresque mais tres sympa dans le quartier de la Recoletta, où nous logeons.
Pour le dejeuner, nous sommes allees a “la Munich” brasserie typique où Borges avait ses habitudes: nous, pas les nôtres c'est sûr, car au momemt de passer commande, le serveur m'a regardé avec des gros yeux quand j'ai demandé une entrée, un plat et des légumes! En fait, ce qu'il faut savoir c'est qu'ici, ils servent des doses gargantuesques. Un plat = un repas, pas complet en terme nutritionnel mais ils s'en fichent, si ca peut te faire couler c'est bien. Les menus sont tres varies (enfin, il y a quasimemt de la viande dans chaque plat, mais j'arrive a m'en sortir avec une aubergine par ci, des epinards par là)
D'ailleurs en parlant de manger, Marcela, une connaissance porteña (=de buenos aires) nous a fait découvrir hier un tres bon petit restau familial perdu dans les bas fonds de la ville. Il s'appelle Pan y Teatro (je vous laisse découvrir les photos). Les propriétaires fêtaient ce soir là leurs 20 ans d'ouverture. ils ont arrosés ca avec un cabernet sauvignon issu de leur propre production de vin de la région de Mendoza. Succulent, l'ambiance tres chaleureuse et surtout dans une petite rue où la circulation est casi nulle ( le paradis a buenos aires!)
Avant de faire les femmes de goût, nous avons joué les femmes de culture, en allant au MALBA (musee d'art latinoamericain de BA). Enfin, nous sommes surtout restees a la boutique et a la librairie pour nous contenter: le lieu est superbe, tres moderne mais nous avions marché pres de 3heures avant! - on n’a pas eu le courage de courir les salles d'expo. on compte surement y retourner. Comme il y a beaucoup de musees, il faut bien faire sa sélection (pour picasso la qualité n'était pas au rdv)….
Pour en revenir au titre de cet article, je suis allee a la Boca - quartier qui a vu naître Maradona mais qui est dit-on également, le plus craignosse de BA. Nous avons fait notre tour dans le paté de maison touristique, surveillé a chaque coin de rue par les hommes de la “policia federal”. En premiere impression, ca fait assez eurodisney, sur le theme du tango et du futbol. Mais dans un second temps, on commence a apprecier les couleurs bariolees des maisons, les statues de cires et les vendeurs de verres de maté, de ponchos et autres babioles. (ca ferait un super titre de livre a la philippe delerm, non?)
Le quartier s'appelle la Boca (bouche ) car il né au 19eme a l'embouchure du rio riachuelo, pres du port naturel de la ville. C'est le seul endroit où j'ai pu voir un bout de mer, enfin de l'eau, enfin un truc liquide, noirâtre qui communie avec des mares de gasoil, tres charmant!
Il y a un vieux bateau restau qui met en appetit. Pour info, ce barrio (quartier) est construit dans un lieu tout a fait inhospitalier, sujet a de frequentes crues: on coñprend mieux pourquoi ce n'est pas le quartier des ambassadeurs.
Demain, si tout va bien, nous comptons aller en Uruguay a Colonia: c'est a 60 km d'ici en ferrie. Petit havre de paix au bord du rio de la plata. Selon Francois (notre hôte qui manie la critique, parfois cinique, en toute intelligence), la campagne aux alentours est aussi exotique que celle de Normandie. Ca tombe bien, je ne connais pas la normandie!
a bons lecteurs et voyageurs, salut
buenos aires manque de "bon air" - 9 juillet 08
hello a tous
Ce n'est pas facile d'écrire ici sur des claviers qwerty, j'en perds mon latin.Je suis contente en tout cas de vous dire que j'ai bien atterri, apres 15 heures de vol. Je partage le voyage avec une amie Sarah, ce qui facilite les presentations ( sarahsabah)
Nous avons fait une entree en trombe a buenos aires. ici les chauffeurs de taxis sont des ayrton senna en puissance. scotchees a la banquette arriere, on s'est demandee a chaque seconde quand est-ce qu'on allait voler dans le decor. c'est impressionnant.
Heureusement, nous sommes arrivees a bon port. c'est le cas de le dire. Si vous regardez une carte, buenos aires est une ville portuaire, mais le probleme est qu'elle n'en a pas l'air. En fait, on ne voit pas la mer et on y sent plus les gaz d'echappement que les embruns. Au premier abord, on se prend une bonne claque car, c'est une ville bruyante et extremement polluee. Elle est etouffante et j'ai du mal avec les immeubles de 15 etages. certains meme disent que c'est un New York raté. AIE!!! j'entend deja les argentins qui veulent me remettre dans l'avion…
Le premier contact est vraiment difficile. cependant, on a la chance d'avoir des connaissances sur place, pour pouvoir en discuter, mieux coñprendre. Aujourd'hui, rechauffee par un soleil absent la veille, j'ai un peu plus apprécié la ville (j'ai dit un peu): visite du cimetiere de recoletta (le pere lachaise de BA), survie sur l'avenida 9 de julio, avenue la plus large du monde et sùrement une des plus stressante, expo d'oeuvres mineures de Picasso… Sans conteste, la decouverte de San Telmo - quartier des antiquaires- etait pour ñoi une salvation. Je l'avoue, j'ai voulu fuire a la campagne, mais motivee par sarah, on compte apprivoiser la bete. nous pensons rester une semaine a buenos aires. Aussi, j'aurais tres certainement de plus “belles histoires” a vous raconter!
a bientot
P.S.: pourquoi ils ne previennent pas dans les guides de voyages ?
diarios de motocicletas - 1 juillet 08
Ola todos!
Je ne dirai qu'un mot: magnifico! Quel plaisir de savourer l'espagnol sous toutes ses saveurs américaines:argentin, chilien, péruvien. Les paysages sont impressionnants. Hier, j'étais déjà partie. Un vrai délice.
Un film que je vous recommande chaudement. A consommer sans modération (comment faire autrement quand l'acteur principal est gael garcia bernal!) pour ceux qui ont envie de se créer des envies de voyages…
blogui, blogua - 27 juin 08
L'idée de créer mon blog me venait en tête comme une ritournelle depuis des mois. Aujourd'hui, vendredi 27 juin, frappée par la foudre de l'envie, je me suis mise en action.
Le faire aujourd'hui, n'est pas un hasard. J'ai pris ma journée pour préparer mon voyage. Oui. J'ai décidé de m'y mettre car bientôt incessamment sous peu (autant dire dimanche prochain) je pars en Argentine (dans le nord) pour 1 mois. Une grande aventure que je voulais partager avec vous (mesdames et messieurs qui me connaissent et ceux qui vont me découvrir)
Alors bonne lecture et bon voyage ensemble!