hello a tous
Ce n'est pas facile d'écrire ici sur des claviers qwerty, j'en perds mon latin.Je suis contente en tout cas de vous dire que j'ai bien atterri, apres 15 heures de vol. Je partage le voyage avec une amie Sarah, ce qui facilite les presentations ( sarahsabah)
Nous avons fait une entree en trombe a buenos aires. ici les chauffeurs de taxis sont des ayrton senna en puissance. scotchees a la banquette arriere, on s'est demandee a chaque seconde quand est-ce qu'on allait voler dans le decor. c'est impressionnant.
Heureusement, nous sommes arrivees a bon port. c'est le cas de le dire. Si vous regardez une carte, buenos aires est une ville portuaire, mais le probleme est qu'elle n'en a pas l'air. En fait, on ne voit pas la mer et on y sent plus les gaz d'echappement que les embruns. Au premier abord, on se prend une bonne claque car, c'est une ville bruyante et extremement polluee. Elle est etouffante et j'ai du mal avec les immeubles de 15 etages. certains meme disent que c'est un New York raté. AIE!!! j'entend deja les argentins qui veulent me remettre dans l'avion…
Le premier contact est vraiment difficile. cependant, on a la chance d'avoir des connaissances sur place, pour pouvoir en discuter, mieux coñprendre. Aujourd'hui, rechauffee par un soleil absent la veille, j'ai un peu plus apprécié la ville (j'ai dit un peu): visite du cimetiere de recoletta (le pere lachaise de BA), survie sur l'avenida 9 de julio, avenue la plus large du monde et sùrement une des plus stressante, expo d'oeuvres mineures de Picasso… Sans conteste, la decouverte de San Telmo - quartier des antiquaires- etait pour ñoi une salvation. Je l'avoue, j'ai voulu fuire a la campagne, mais motivee par sarah, on compte apprivoiser la bete. nous pensons rester une semaine a buenos aires. Aussi, j'aurais tres certainement de plus “belles histoires” a vous raconter!
a bientot
P.S.: pourquoi ils ne previennent pas dans les guides de voyages ?
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